BOOSTONS NOTRE SYSTÈME HUMANITAIRE

L’écoute et la bienveillance sont au cœur de toutes les actions d’éducation et de protection de l’enfance au SIF, qui agit dans des contextes très tendus.

Au SIF, chaque don est utilisé de façon à ce qu’il soit le plus efficace et efficient pour les bénéficiaires sur le court, moyen et long terme. Afin de renforcer le suivi, la qualité et le développement des projets, la recherche de fonds est essentielle : elle permet d’accroître les capacités opérationnelles du SIF.

La force de votre don est ainsi démultipliée : non seulement vous contribuez à la réalisation de projets humanitaires que vous avez choisi, mais participez aussi à générer des ressources financières supplémentaires qui, in fine, serviront à d’autres actions humanitaires : un véritable cercle vertueux du don !

L’an dernier, grâce à votre générosité, le SIF a pu apporter de l’aide humanitaire à 1, 4 millions de personnes vulnérables. Booster votre système humanitaire, c’est permettre à nos équipes de faire encore mieux, tant les défis qui se présentent à nous sont nombreux.

Pour y répondre, elles s’appuient sur une approche globale et inclusive. Ainsi, le SIF agit sur de nombreux aspects essentiel pour que le bénéficiaires puissent subvenir au mieux à l’ensemble de leurs besoins. Cette ligne directrice est vouée à les accompagner vers un retour durable à l’autonomie :

L’éducation et la protection de l’enfance font partie des nombreuses expertises du SIF, comme ici, en Syrie

Lorsqu’une crise humanitaire se déclenche, les premières heures sont cruciales. D’où l’importance de disposer de moyens immédiatement mobilisables pour lancer les toutes premières réponses, absolument vitales.

Ces moyens peuvent être financiers, au travers du fonds des urgences, ou matériaux : dans certains pays, les équipes peuvent compter sur un stock de contingence. En parallèle, le SIF lance un appel aux dons pour poursuivre et développer l’intervention, puis mettre en place des projets sur le long terme.

Ce sont vos dons qui nous permettent de renforcer les premières réponses ©SIF

Chaque crise est unique. Avant de mettre en place un projet, le SIF mène des évaluations pour cerner précisément la spécificité du contexte et les besoins, en observant et en échangeant avec les bénéficiaires.

C’est par exemple ce qui a été fait au Tchad, qui accueille dans des camps des dizaines de milliers de réfugiés Soudanais. Les maladies (choléra, diarrhée…) liées au manque d’accès à l’eau étant potentiellement mortelles, le SIF a notamment distribué 860 purificateurs d’eau mécaniques (180 litres par heure, sans source d’énergie).

Au Tchad, vos dons nous permettent d’ajuster les actions au contexte, avec la distribution de purificateurs d’eau pour les réfugiés

Dans nos pays d’intervention, les enjeux sont complexes, et nécessitent des réponses multiples. Par exemple, au Yémen, la population subit à la fois une guerre, des catastrophes naturelles, un manque d’accès à l’eau, la destruction d’écoles, la faim, et l’extrême pauvreté.

Sur place, le SIF mène projet global, afin de répondre à tous ces besoins, essentiellement pour des personnes déplacées. C’est le condition sine qua non pour améliorer leur quotidien des populations, tout en leur redonnant des perspectives sans qu’elles dépendent indéfiniment de l’aide humanitaire.

Au Yémen, les besoins sont multiples, tant la crise est grave : le SIF intervient donc globalement

L’élaboration des actions avec les communautés, les acteurs locaux et des partenaires humanitaires fait partie de la démarche du SIF. Par exemple, l’eau potable est un problème majeur dans la région des Cascades, au Burkina Faso.

Le SIF a collaboré avec la population pour déterminer l’emplacement des forages, puis créé des comités à leur entretien et à la gestion de la ressource. Ces comités ont reçu une formation élaborée avec les autorités pour qu’elle soit conforme aux normes et bonnes pratiques nationales.

Comme ici au Burkina Faso, le SIF travaille en collaboration avec les acteurs locaux et les bénéficiaires

Au Pakistan, pays très vulnérable aux changements climatiques, le SIF a su s’appuyer sur les leçons des inondations meurtrières de 2022. Après l’urgence, le SIF a accompagné les sinistrés pour qu’ils puissent mieux faire face aux catastrophes.

Cartographie des zones à risques, pré-positionnement de kits de premiers secours, construction d’abris d’urgence et de murs de protection dans les villages, adaptation des écoles, formation d’équipes locales d’intervention capables de réagir efficacement, exercices de simulation… Anticiper, c’est la clé !

Au Pakistan, le SIF soutient la population dans son adaptation aux catastrophes climatiques, comme ici avec des abris d’urgence

Le SIF travaille pour donner les clés du retour à l’autonomie. C’est le cas, par exemple, en Somalie, via un projet multiforme, sur le long terme : réhabilitation d’un canal pour les agriculteurs, distribution de matériel et de bétail, parcelles-écoles pour l’apprentissage de techniques adaptées à la sécheresse, aide au développement de la pêche, techniques de vente, aide à l’accès aux marchés, création de groupes communautaires voués à favoriser l’épargne collective et les prêts par la collaboration…

En Somalie, le SIF mène de nombreux projets sur le long terme, tel que l’aide au développement d’activités de pêche pour des personnes sans revenus